Friday Sermon – Khalifatul Masih V – Mirza Masroor Ahmad – Year 2013
Allah est le plus grand. Allah est le plus grand. J’atteste que nul n’est digne d’être adoré excepté Allah. J’atteste que Muhammad (saw) est le Messager d’Allah. Accourez vers la Prière. Accourez vers la Prière. Accourez au succès. Accourez au succès. Allah est le plus grand. Nul n’est digne d’être adoré excepté Allah
Que la paix soit sur vous ! Et la miséricorde d’Allah. J’atteste que nul ne doit être adoré à part Allah. Il est Unique. Il n’a pas d’associé et j’atteste que Muhammad est Son serviteur et Son messager. Je me réfugie auprès d’Allah contre Satan le maudit. Au nom d’Allah, le Gracieux, le Miséricordieux.
Toutes les louanges appartiennent à Allah, le Maître de l’univers, le Gracieux, le Miséricordieux. Maître du Jour du Jugement. C’est Toi seul que nous adorons et c’est de Toi seul que nous implorons le secours. Guide-nous dans le droit chemin ; Le chemin de ceux à qui Tu as accordé Tes faveurs,
Pas celui de ceux qui se sont attiré Ton courroux, ni de ceux qui se sont égarés. Allah Tout-Puissant a envoyé le Messie Promis (as) en ce temps pour rétablir la gloire et la haute stature du Saint Prophète (saw). Le Messie Promis (as) a écrit :
« Allah Tout-Puissant a exposé au grand jour la déclaration du Saint Prophète (saw). Il est venu comme un soleil et a manifesté sa lumière de tous les points de vue. Celui qui se détourne de ce vrai soleil ne servira à rien.
Nous ne pouvons donner la vraie foi à un tel homme. » Le Messie Promis (as) explique ensuite : « Rappelez-vous qu’un prophète est la mère de la croyance en l’unité, qui la fait naître et souligne l’existence d’Allah. Qui connaît mieux la vérité qu’Allah seul ?
Il a rempli le ciel et la terre de signes pour prouver la vérité du Saint Prophète (saw) et maintenant, à cette époque, il m’a envoyé et a affiché des milliers de signes comme de fortes pluies, qui prouvent la vérité du Saint Prophète (saw).
Que manque-t-il alors dans l’exposé complet de la vérité ? » Bien que ces signes soient révélés de différentes manières de nos jours également, cependant, à la communauté finale, qui a été directement bénie par le Messie Promis (as) et guidée par Allah Tout-Puissant,
Il leur a montré des signes et les a guidés sur le droit chemin. Ensuite, ils ont fait tous les sacrifices pour suivre le Messie Promis (as). Parmi eux se trouvaient ceux à qui Allah le Tout-Puissant a montré le Saint Prophète (saw) et son fidèle dévoué comme un seul et même esprit unique.
En commençant la série, je mentionnerai également quelques rêves de ces personnes, guidées par Allah le Tout-Puissant de différentes manières. Il y en a qui ont vu le Saint Prophète (saw) dans des rêves où il explique le statut de son Messie, comment ce guerrier d’Allah est venu
Et ce qu’il a fait pour répandre la religion du Saint Prophète (saw) à cette époque. Voici quelques exemples. Hazrat Mirza Mohammad Afzal Sahib, fils de Mirza Mohammad Jalalu-Din (ra) raconte ce qui suit. Il a fait le serment d’allégeance en 1895
Et a personnellement vu le Messie promis (as) en 1904 et a pris le Bai’at sur sa main le jour même. Il explique que son père, Munshi Jalalud Din Sahib (ra), alors qu’il vivait à Noshehra Cantt, probablement aux alentours de 1876, fut l’un des premiers compagnons du Messie Promis (as).
Il est dit à propos du Messie qu’il aurait 313 disciples, tout comme l’a mentionné le Messie Promis (as) à différents endroits comme dans ‘A’ina Kamalat Islam’ et ‘Anjam Atham’ à propos de 313 compagnons, appelés compagnons de Badr, comme le veut la tradition.
Munshi Jalalud Din sahib (ra), père de Mirza Mohammad Afzal sahib, était l’un d’eux. Il explique en outre qu’il (son père) fit un rêve de bon augure alors qu’il résidait à Noshehra Cantt pour trois nuits consécutives. Mirza Afzal sahib, qui était très jeune à cette époque,
Raconte qu’il était avec un de ses amis et était à la recherche du Messie promis (as). Il lut une publicité d’un livre du Messie Promis (as) à Jehlum. Il la lut et partit pour sa destination. A cette époque, Qadian était une ville inconnue.
Après avoir demandé plusieurs fois son chemin, il atteignit Batala mais, après avis de Mian Sahib de Batala ou peut-être que quelqu’un l’arrêta ou qu’il fut découragé, il rentra. Il était dans l’armée et est allé à Kaboul en guerre. Sur le chemin du retour, il est venu au Messie Promis (as) très gêné.
En le voyant, le Messie Promis (as) a dit : « Es-tu le même Munshi Jalalu-Din dont les lettres viennent de Kaboul ? » Il a été guidé à maintes reprises par Allah Tout-Puissant. Ses opposants faisant obstruction, il ne put accepter la vérité à ce moment-là,
Mais comme il avait de bonnes intentions et était pieux, Allah le Tout-Puissant lui a donné l’occasion plus tard. Hazrat Mohammad Abdullah sahib, (ra), un relieur, fils de Mohammad Ismail sahib, prêta le serment d’allégeance en mai 1902 et vit en personne le Messie Promis (as) en 1903.
Il raconte : « Tout ce que j’ai reçu, c’est le résultat des prières du Messie Promis (as). J’ai vu l’image du Messie Promis (as) dans mon enfance dans un rêve béni dans lequel je volais comme des oiseaux vers l’Est.
En avançant, j’ai vu un saint dont la barbe et les cheveux étaient colorés au henné. Quand je l’ai rencontré en 1903, je compris que l’image que j’avais vue en volant dans mon enfance était celle du Messie Promis (as). Hazrat Rahmatullah sahib, (ra) qui prêta le serment d’allégeance par courrier en 1901, dit :
« Lorsque le Jalsa approchait, je faisais la prière d’Istikhara. Dans un état de somnolence, ces paroles ont été révélées à quelques reprises sur ma langue : [Perse] « Ô jeunes, efforcez-vous de créer de la force dans la foi, autrement dit, faites attention au service de la foi. » Il a raconté :
« Avec la grâce d’Allah, j’étais toujours présent au Jalsa avec les habitants de Banga. Hazrat Khanzada Ameerullah Khan sahib (ra) prêta le serment d’allégeance en 1904 par courrier et rendit visite au Messie Promis (as) en 1905 ou en 1906. Il a relaté la conversation qu’il a eue dans uns de ses rêves
Alors qu’il n’était pas encore allé à Qadian : « J’ai rêvé qu’en journée, trois Ahmadis; moi-même, Babu Alamgeer Khan (ra), décédé à l’époque et Dilawar Khan, qui n’avait pas fais le Bai’at, faisions la queue vers le sud. Devant nous, le Messie Promis (as) et Hazrat Hakeem Maulana Noorouddin (ra)
Faisaient face au Nord. Le Messie Promis (as) tendit sa main vers moi en montrant ma poitrine et dit au premier Calife (ra) : « Il est du paradis » puis il fit un geste vers un autre Ahmadi et dit : « Celui-là aussi »
Mais il n’a rien dit à propos du troisième. Je regardais le Messie Promis (as), donc je ne comprenais pas lequel des deux Ahmadis était désigné par le Messie promis (as). Après cela, la scène a soudainement changé. Puis j’ai vu que nous étions quatre Ahmadis. Maulvi Ataullah, décédé, Alamgeer Khan, Delawar Khan
Et moi-même sommes assis ensemble pour manger. Nous parlons entre nous, quelqu’un dit qu’il est un faucon, un autre dit qu’il est un faucon, l’un de nous deux dit qu’il est un pigeon, un autre dit qu’il est une perdrix. Pendant ce temps, le premier Calife (ra) est arrivé et a dit :
« Vous n’êtes pas né pour devenir un faucon, un pigeon ou une perdrix, mais plutôt, il faudrait dire : Nul n’est digne d’adoration excepté Allah et le Saint Prophète (saw) est son messager. Après avoir lu le Kalima pour la troisième fois, je me suis réveillé.
C’était l’heure de la prière de Zohr et il y avait une ombre sur le mur. Quand je suis allé à Qadian l’année suivante, j’ai trouvé la même apparence du Messie Promis (as) et du premier Calife (ra), toutes les louanges sont à Allah.
Expliquant l’autre rêve, il se souvient du temps où : « J’étais traité par le premier Calife (ra), le docteur Khalifa Rasheedu Din (ra), le docteur Mirza Yaqoob Beig sahib (ra) et deux autres médecins Ahmadis et ce pendant 20 jours. Les médecins ont recommandé la chirurgie. J’étais heureux.
La nuit, j’ai rêvé que le Messie Promis (as) se tenait à la tête du lit et qu’il disait qu’il n’y aurait pas d’opération, c’était la peste. On m’a fait comprendre que peste signifie la mort. J’ai raconté ce rêve au premier Calife (ra) au matin.
Il répondit que le Messie Promis (as) avait raison, il ne devrait y avoir aucune chirurgie. Il a mentionné le troisième rêve. Il a fait ce rêve chez lui alors qu’il avait décidé de se rendre au congrès annuel. Le Messie Promis (as) lui dit : « Prenez soin de Hamid Ali également.
J’ai donc donné une roupie à Hamid Ali Sahib lorsque je suis allé à la convention annuelle à Qadian, cela se passe après le décès du Messie Promis (as). J’’ai écrit à Hamid Ali (ra), le serviteur du Messie Promis (as),
Que le Messie Promis (as) m’avait demandé de prendre soin de lui dans ma révélation donc je lui offrais ce roupie. » Hamid Ali (ra) se mit à pleurer, en entendant cela et dit : « Les prophètes sont si miséricordieux et nobles, ils s’inquiètent pour leur serviteur.
Comment est-il possible qu’il ne se soucie pas de ses chers fils, qui assaillent illégalement la famille du Messie Promis (as) en ayant la même opinion sans vergogne à Lahore ? A cette époque, ceux qui n’avaient pas prêté le serment d’allégeance étaient allés à Lahore.
Dans le rêve, il pensait faire référence au deuxième Calife (ra), si le Messie promis (as) ne s’inquiéterait pas pour son fils. Il avait une grande confiance en cette affaire car c’était une période cruciale du Califat du deuxième Calife (ra). Hazrat Mian Meeran Bakhsh sahib (ra),
Maître tailleur qui prêta le serment d’allégeance en 1900 raconte : « Pour prêter le serment d’allégeance, j’ai été inspiré par mon frère Ghulam Rasool sahib (ra) qui était analphabète et prêta le serment d’allégeance avant moi. Chaque fois que je rentrais chez moi de mon magasin, je le rencontrais sur mon chemin.
Nous avions l’habitude de parler de la communauté aussi. En tant qu’opposant, je le traitais de menteur, mais lorsque je rentrais à la maison et que je pensais à lui, je me disais que, malgré le fait qu’il soit analphabète, ses paroles me laissaient sans voix.
Un jour, mon frère m’a donné quelques tracts que j’ai lus et qui m’ont beaucoup touché. J’ai commencé à prier Allah Tout-Puissant. Une nuit, j’ai vu un rêve où je me levais de mon lit voulant aller uriner, mais la fenêtre était ouverte. J’ai été surpris de voir cela
Et me suis demandé pourquoi cette fenêtre était ouverte aujourd’hui. Quand je suis allé à la fenêtre, j’ai vu une personne noble en train de lire un livre à la main. Je lui ai demandé le nom du livre qu’il lisait.
Il répondit : ‘ C’est le livre de Mirza sahib et je l’ai apporté pour vous.’ Quand il m’a donné le livre, j’ai dit : ‘ Ce livre est de petite taille, j’ai vu ses tracts qui sont de grande taille.’ Cette noble personne a dit :
‘ Mirza sahib a imprimé ce livre avec de petites polices.’ Je me suis réveillé après ça. Je pensais que, comme j’avais dormi après des supplications, ces dernières devaient être la cause de ces pensées. Quand je suis allé chez moi pour faire la prière de Zohr,
J’ai vu une personne lire un livre dans la boutique de Ghulam Rasool. Je lui ai demandé quel livre il lisait. Mian Ghulam Rassol sahib lui prit le livre, le mit dans ma main et dit : ‘ C’est le livre que vous avez demandé. Je l’ai apporté pour vous. Prenez-le s’il vous plait.’
Après avoir vu le livre, j’ai dit que j’avais vu ce livre la nuit dernière dans une révélation. J’ai lu très attentivement les deux parties du livre ‘Izala Oham’ et me suis posé la question : ‘ As-tu encore des doutes ? ’ Mon cœur a répondu qu’il n’y avait plus de doute,
Alors j’ai écrit une lettre pour prêter le serment d’allégeance. » Le rêve se réalisa en quelques heures et Allah Tout-Puissant lui permit de prendre le serment d’allégeance du Messie Promis (as). Hazrat Mohammad Fazal sahib (ra), qui prêta le serment d’allégeance en 1899, a dit :
« J’étais chez moi un jour lorsque mon beau-frère, Moulvi Sheikh Mohammad, est venu me voir et m’a remis un livre intitulé ‘Shahadatul Coran Ala Nozoolul Masihil Maud fi Akhirul Zaman’. C’était la nuit et j’avais hâte de le lire. Le matin venu, après avoir lu la prière Fajr, j’ai commencé à le lire,
Allongé sur un lit dans une pièce séparée. Après avoir lu environ trois pages, je me suis endormi. J’ai rêvé que le Messie Promis (as) était assis à tête de mon lit. Il prit la salive de sa bouche et la mise dans la mienne avec sa main. Je l’ai avalé comme une boisson.
J’ai eu l’impression que des fontaines jaillissaient de mon cœur et j’étais rempli de joie. Puis, je me suis réveillée et cette expérience a renforcé ma conviction et intensifié mon amour pour le Messie Promis (as). L’inquiétude et l’amour pour le monde diminuaient dans mon cœur
Et ce verset était sur ma langue la plupart du temps : « Ô mon bien-aimé, j’ère dans toutes les villes et villages, dans les rues et partout sans toi comme un fou ! » Dans le livre ‘Shahadtul Quran’ qu’il a mentionné, une personne s’était opposée au Messie Promis (as), en disant :
« Comment un hadith peut prouver que vous êtes un vrai réformateur ? » Certains hadiths ne valent pas la peine d’être cru. Ensuite, le Messie Promis (as) a écrit ce livre et a levé tous les doutes. Cette personne n’était pas satisfaite mais beaucoup de personnes ont tiré bénéfices de ce livre.
Hazrat Sheikh Atta Mohammad sahib (ra), ancien greffier et comptable du village, a raconté : « J’ai vu en rêve que le Messie promis (as) se promenait sur une route de Batala qui se trouvait en devant le district.
Huzoor m’a donné une roupie et a barré l’image de la reine, puis a fait un trait sur elle et a dit : « Déposez-le dans la trésorerie. » Quand j’ai raconté ce rêve au Messie Promis (as), il a dit que la reine n’accepterait pas l’Islam.
Mian Abdul Aziz (ra), connu sous le nom de Mughal sahib raconte il a prêta le serment d’allégeance en 1892, que Chaudhary Abdur Raheem Sahib n’était pas Ahmadi quand il vit dans un rêve que la montre du Saint Prophète (saw) lui était apporté pour réparation.
Mian Adbul Aziz raconte : « Par hasard, je lui ai donné la montre du Messie Promis (as). Il s’agissait de la montre Hazrat Amma Jaan avait donné au Messie Promis (as). La personne qui avait fait ce rêve n’était pas Ahmadie.
Lorsqu’il a ouvert la boite contenant la montre du Messie Promis (as) pour réparation, il dit : « C’est la montre du Saint Prophète (saw) que j’ai vu en rêve. Hazrat Ameer Khan sahib (ra), qui prêta serment d’allégeance en 1903, dit :
« Dans un rêve, J’ai vu la mosquée Moubarak comme un fort circulaire où il y avait beaucoup de monde et où chacun tenait un drapeau rouge à la main. Parmi eux, la personne la plus sainte était à l’étage supérieur
Et tenait un grand drapeau rouge. Quelqu’un me dit : « Savez-vous qui c’est ? » J’ai répondu que je ne savais pas. Puis il dit : « Voici votre frère de Kaboul. » Les remparts du fort avaient des trous, d’où l’on pouvait viser les ennemis extérieurs
Mais à travers lesquelles les ennemis ne pouvaient tirer sur nous. Il y avait tellement de poussière à l’extérieur du château qu’il était difficile de reconnaître qui que ce soit. Les mules, les ânes et les chameaux créaient un vacarme qui rendait l’atmosphère menaçante. Quand je suis sorti du château, dit-il en expliquant son rêve,
J’ai vu des cadavres partout, qui étaient emmenés au château. Quand je sortis du château, je fus distrais par le bruit donc, confus, je suis retourné au château. J’ai cherché la porte d’entrée mais je ne l’ai pas trouvée. Je le cherchais encore quand j’ai vu une personne humble et bien élevée.
Il essayait aussi d’entrer dans le château mais ne trouvait pas la porte. Nous étions toujours à sa recherche quand nous avons appris que, sur la terrasse la plus haute du fort, le Saint Prophète (saw) était sur le point de diriger la prière en congrégation.
En voyant cela, nous sommes tous les deux devenus impatients et inquiets. Dans cette situation agitée, j’ai mis mes deux mains autour du cou de l’autre personne et j’ai commencé à lire : « Allahoo », comme mon pere Syed Ghulam Shah sahib
M’avait dit de le faire. Grâce à la bénédiction de cette intonation, nous avons pris un vol et avons pu rejoindre la prière du côté droit du Saint Prophète (saw) là où seules deux personnes pouvaient se tenir debout, nous avons rejoint la sajda. Profondément reconnaissant dans la posture de prosternation que nous soyons placés
Au premier rang à droite, j’en fus ému et dit : « Allahoo » d’une voix si forte que je me suis réveillé en respirant à tout rompre. Les larmes coulaient de mes yeux et je continuais à entonner : « Allahu »
Et mon souffle était si fort que les membres de la famille se réveillèrent aussi et me demandèrent ce qui s’était passé. Comme je disais toujours « Allahoo » continuellement et que je respirais fort, je ne pouvais pas leur répondre. Pour contrôler mon excitation et me rétablir, je suis sorti.
Quand je me sentais mieux, je suis entré et je me suis allongé sur mon lit. Il a ensuite raconté que cela le touchait et qu’après quelque temps, Allah Tout-Puissant lui permit prêter le serment d’allégeance. Hazrat Mian Mohammad Ibrahim (ra) était un Ahmadi de naissance. Il rencontra le Messie Promis (as) en 1903.
Il raconte : « J’ai vu Huzoor pour la première fois lorsque Huzoor se rendait à Jehlum. Je l’ai aussi vu sur le chemin du retour. Puis je l’ai vu à Lahore en 1904. Et je suis allé à Qadian en 1905. Avant d’aller à Qadian, j’ai eu un rêve.
J’’ai vu dans le rêve que mon père était sorti de la maison et que ma sœur cadette et moi-même étions à la maison. J’ai vu deux hommes s’approcher de la porte, ils ont frappé et ont appelé. Je suis sorti et j’ai ouvert la porte. À ma demande, les deux sont entrés.
J’ai vu qu’il y avait un tapis et trois chaises dans notre cour. Il y avait une table aussi. Je les ai assis sur les chaises. Dans le rêve, j’ai demandé à ma sœur cadette de leur préparer du thé. Elle monta apporter le bois de chauffage.
A cette époque, il n’y avait pas de gaz et la coutume était que le bois utilisé pour le feu soit en haut. Elle était toujours dans l’escalier lorsqu’un taureau noir et lourd est entré. En voyant ces personnes, il s’est rapidement retourné et a commencé à monter les escaliers.
J’ai crié que cela tuerait ma sœur. En entendant le bruit, la personne à la barbe noire a voulu se lever, mais la personne à la barbe rouge dit:«Vous m’avez confié cette tâche, alors c’est mon devoir.» Alors, il y est allé et je l’ai accompagné. Ma sœur se tenait près du mur.
Elle avait quelques égratignures mais n’avait pas été blessée. Nous sommes montés. Le taureau s’était transformé en une machine sur notre mur ouest, sa forme avait changé et a commencé à rouler en avant et en arrière sur le mur. Lorsqu’il atteignit le dernier coin du mur, l’invité le frappa avec une matraque.
Il tomba en miettes. Nous sommes revenus et les invités se sont, à nouveau, assis sur les chaises et ont pris le thé. Ils m’ont aussi donné du thé. Après avoir pris le thé, ils se sont assis pendant un moment et ont discuté.
Puis ils ont dit : « Mon frère, nous commençons à tarder.S’il vous plaît, permettez-nous de partir.» J’ai demandé : « S’il vous plaît dites-moi qui vous êtes ? Je voudrais le dire à mon père. »
Ils ont eu un petit sourire suite à ma requête. La personne à la barbe noire a dit : « Je m’appelle Mohammad et mon autre nom est Ahmad. » En entendant cela, je me suis emparé de la chemise du Saint Prophète (saw) et ai demandé :
« S’il vous plaît, enseignez-moi quelque chose ! » Il a prononcé des mots arabes que j’ai oubliés, mais la signification était que peu de jours de votre vie seront paisibles. Alors je lui ai serré la main et il a dit :
« Transmettez mon « Salaam » à votre père » et il est sorti. Je leur ai dit au revoir. J’étais toujours en plein rêve lorsque mon père arriva, je lui ai raconté toute l’histoire, toujours en rêve. Il est immédiatement sorti.
Il dit ensuite qu’il s’est réveillé, parce que son père l’a appelé à se lever pour prier. J’ai raconté ce rêve à mon père. C’était vendredi. Je l’ai dit à Munshi Ahmad Din, écrivain en appel à l’époque de Jummah. Il a écrit une lettre relatant ce rêve et l’a envoyé au Messie Promis (as).
Après quelques jours, le Messie Promis (as) a répondu et demanda que ce garçon vienne à la Jalsa (conférence annuelle). Donc, je suis allé pour la Jalsa. Quand nous sommes allés à la mosquée Mubarak, quelques personnes âgées étaient assises, nous leur avons serré la main. Pendant ce temps, le Messie Promis (as) est entré,
Nous nous sommes tous levés et lui avons serré la main. Puis Huzoor s’est assis. Munshi Ahmad Din (ra) a dit respectueusement : « Huzoor, c’est le garçon qui a vu le rêve. » Huzoor me prit sur ses genoux et dit : « Raconte-moi le rêve. »
Alors je lui ai raconté le rêve. Ensuite, la nourriture a été apportée de l’intérieur. Huzoor lui-même et tous les invités avaient de la nourriture. Quand Huzoor a fini, le reste de nourriture bénite fut distribuée parmi nous. Hazrat Syyed Saifullah Shah Sahib (ra) raconte il prêta le serment d’allégeance en 1906
Et l’a vu en 1908 : « A l’âge de douze ou treize ans, je me suis vu dans la ville de Yaripura en rêve. À ce moment-là, Yaripura m’était inconnu. J’ai vu que des milliers de personnes étaient rassemblées et qu’il y avait une mosquée Ahmadiyya.
Une personne était assise sur un rocher d’environ sept mètres de haut. Les gens le saluaient au passage en disant : « ‘Salam’. » J’ai demandé aux gens : « Qui est cette personne ? » On m’a dit que le Saint Prophète (saw) était assis là.
Avec une excitation extrême, je suis monté sur la crête, me suis placé devant lui et j’ai dit : « Que la paix soit avec toi. » Huzoor lui rendit la pareille : « Que la paix soit avec toi aussi. » Je me suis assis très près de lui
Et soudain je me suis souvenu de mon plus grand souhait de tous les temps et j’ai pensé : « De qui d’autre aurais-je besoin comme saint ou guide mieux que lui. » Je prêterai le serment d’allégeance sur sa main. J’ai humblement dit :
« Votre Majesté, j’aimerais prendre le serment d’allégeance de votre main. » Huzoor dit : « Montre-moi ta main. » J’ai tendu la main et le Saint Prophète (saw) a tenu ma main dans sa main bénie et a dit :
« Dis, Allah est mon Seigneur. » J’ai dis : « Allah est mon Seigneur » et je me suis réveillé. J’étais triste après m’être levé car j’avais vu le Saint Prophète (saw) mais je m’étais réveillé si vite. Ce visage pieux était imprimé dans mon esprit et je n’ai jamais oublié le visage brillant
Et lumineux de mon cœur car la scène y était gravée. Il explique ensuite que l’interprétation de ce rêve fut plus claire par la suite. Après une longue période, plusieurs incidents sont arrivés entre-temps, il avait finalement eu l’occasion d’aller à Qadian. Quand il rencontra le Messie Promis (as) et vit son visage béni.
Je me suis souvenu de la scène de mon rêve. Le visage du Messie Promis (as) était parfaitement le même que celui du Saint Prophète (saw), que j’avais vu dans la révélation. Il n’y avait pas de différence du tout. Hazrat Chaudhary Ghulam Ahmad Khan sahib (ra) avait rendu visite
Au Messie Promis (as) en mai 1908 mais n’a pas prêté serment. Il le prit en 1909 aux mains du premier Calife (ra). Il a raconté que durant l’hiver 1905, alors qu’il étudiait dans la huitième classe de l’école de la commission municipale du district de Rahwan Jalandhar, une nuit, il fit un rêve :
« Moi et un autre garçon, nommé Abdullah, mon camarade de classe appartenant à la famille Jat, allions au terrain de jeu de notre résidence. La pension musulmane était située près du grand marché de la ville. Le sol se situant au nord de la ville, nous allions donc entrer par le nord
Lorsque nous avons vu le Saint Prophète (saw) dans la rue. Huzoor se dirigeait vers la ville. Alors, tournant le dos au nord, je me dirigeai vers Huzoor et dit : « Que la paix soit sur vous » en tremblais des deux mains. Huzoor avait un turban blanc très simple sur la tête,
Vêtu d’une longue robe noire et d’un pantalon blanc. Son teint était mat, cheveux raides, beaux yeux, front large et lumineux, nez levé, barbe droite, longue et noire. Il n’y avait pas de rides sur son visage et la lumière diffusait et brillait.
Il était de taille moyenne. Je ressentais de la joie, du plaisir et du bonheur suite à la rencontre du Saint Prophète (saw) en rêve. Quand je me suis réveillé, je ressentais toujours la même joie et le même bonheur. Ce rêve a eu un tel impact sur mon cœur qu’au moment d’écrire ces lignes,
Je savoure le bonheur et le plaisir de cette scène et je ne peux pas l’oublier. On m’avait transmis le message de l’Ahmadiyyat, le message lui avait déjà été transmis mais il n’était pas encore Ahmadi et j’avais accepté le Messie Promis (as). J’ai été inébranlable pendant certaines crises, mais pour certaines raisons,
Je devins un détracteur. Il avait pris le serment d’allégeance mais il fit demi-tour, il dit qu’il est devenu un opposant. Jusqu’au jour où, au bout de deux ans et demi, j’ai vu le Messie promis (as) pour la première fois
À Lahore le 18 mai 1908, je me suis immédiatement rappelé le rêve mentionné ci-dessus, car la personne que j’ai vue comme le Saint Prophète (saw) était exactement Hazrat Mirza Ghulam Ahmad Qadiani (as). Les deux avaient la même apparence et la même tenue vestimentaire sans aucune différence.
Il avait le même corps construit, la même couleur brune, les cheveux raides, le même turban et le même style, une longue robe noire et un pantalon blanc, exactement la même personne que j’ai vue dans le rêve comme le Saint Prophète (saw). La seule différence était que Chaudhary Abdul Hai Khan sahib Ahmadi Kathgari,
Un maître de poste à la retraite, était avec moi à la place de mon camarade de classe Abdullah. En fait, Abdul Hai Abdullah m’a fait signe de serrer la main. Sur sa parole, j’ai dit “Assalamoalaikum” au Messie Promis (as) et ai entendu “Walaikum Salaam” en retour,
Car il n’y avait que quelques personnes assises entre moi et le Messie Promis (as). Quand je me suis levé et que j’ai tendu la main pour serrer la main de huzoor, mes mains n’ont pas pu atteindre Huzoor. Le Messie Promis (as) se leva sur ses genoux et me serra la main.
Il échangea avec moi quelques mots de bienvenus. Mian Abdul Aziz Sahib (ra), connu sous le nom de Mughal Sahib, raconte : « Mirza Ayub Beig sahib (ra) vint à moi le matin et appela : ‘ Abdul Aziz ! Abdul Aziz !’
Je suis descendu. Il a dit : ‘Ecoute mon rêve. Je suis venu te raconter mon rêve. Je lisais la prière du Fajr quand j’ai soudainement changé d’état. J’ai vu que le Saint Prophète (saw) marchait vivement vers moi et se mit à mes côtés.
J’ai demandé : ‘ Prophète d’Allah ! Où allez-vous ? ’ Il a dit : ‘ Je vais à Qadian pour protéger Mirza Ghulam Ahmad (as).’’ Après cela, Ayub Beig a dit : ‘ Allah sait mieux ce qui se passe à Qadian. Dans la soirée, nous apprenions que la maison
Du Messie Promis (as) avait été perquisitionnée à propos du meurtre de Lekhram. Ils ne le savaient pas mais Allah le Tout-Puissant leur a dit dans le rêve.’ » Hazrat Syed Mohammad Shah Sahib (ra) a également raconté le même récit.
Il raconta à propos de la perquisition effectuée dans la maison du Messie Promis (as) concernant le meurtre de Lekhram : « Un jour, nous faisions la prière du matin derrière Mirza Ayub Beig dans la mosquée Lange Mandi de Lahore. Mirza Sahib (fin) n’avait que dix-sept ou dix-huit ans, il était très pieux,
Le Messie Promis (as) l’a également loué. Après avoir dit ‘Salaam’, j’ai vu le Saint Prophète (saw) quand il était dans la posture de prosternation. Il était en uniforme militaire et se précipitait quelque part, tenant une épée à la main. J’ai demandé : ‘ Huzoor ! Que se passe-t-il ?’
Il a dit que Mirza Ghulam Ahmad allait être fouillé aujourd’hui », Je vais à Qadian pour le protéger. Hazrat Ameer Khan sahib (ra) a raconté : « J’ai entendu des rois dire aux Ahmadis dans le rêve du 31 janvier 1915 :
‘ Nous ne pouvons plus être des rois, nous remettons la royauté aux Ahmadis, mais les Ahmadis devraient avoir une compréhension de l’opinion avec le public par la prédication, alors ce travail se fera facilement. ’ Il a dit dans le rêve qu’en gardant cela à l’esprit,
Il est allé dans un village hindou et a commencé à prêcher. Je leur ai expliqué les faits historiques des prophètes et les motifs des peines prononcées et j’ai allégoriquement déclaré à quel point une guerre métaphorique dangereuse avait eu lieu pendant la période de Krishan et que les destructions avaient eu lieu. »
Ce fait est encore valable aujourd’hui, tout pouvoir ou tout triomphe que nous pourrions obtenir se fera par la prédication et les prières. Le docteur Hazrat Mohammad Tofail Khan sahib (ra) qui a prêté serment d’allégeance en 1896, racontant qu’après ‘Jang-e-Muqaddas’ (il s’agissait d’un débat avec des chrétiens),
Un incident a eu lieu à Amritsar entre les chrétiens et le Messie Promis (as). Il y avait une foule autour de mon père et c’était un sujet de discussion quotidien. À la fin du débat, le Messie Promis (as) avait fait une prophétie concernant Abdullah Atham.
Alors qu’il ne restait que deux ou trois jours avant la date butoir de la prophétie, les détracteurs ont commencé à dire qu’il ne s’agissait que de discussions dénuées de sens. Comment est-il possible qu’une personne aussi puissante que le député Atham, qui dispose de tous les moyens de sécurité
Et d’une garde de police pour sa sécurité, soit la cible de tout complot? Mon père détestait énormément ces conjectures et il disait, en retour de leurs phrases provocantes, qu’avant l’expiration de la durée fixée, il est vraiment irrespectueux de faire des commentaires.
« Nous croyons fermement que le soleil ne se couchera pas ce jour-là, jusqu’à ce que cette prophétie se réalise dans ses termes réels comme un signe de victoire Islamique. » Il ne restait qu’un jour quand on apprit qu’Atham était toujours en vie.
Il dit que son père était devenu extrêmement nerveux en entendant ces nouvelles. Il ne pouvait pas supporter que la prophétie qui est un signe de victoire Islamique ne soit pas accomplie. Les ennemis du Messie Promis (as) étaient heureux mais son père était extrêmement déprimé.
Il a commencé ses prières. La nuit même, Allah Tout-Puissant lui montra qu’il avait vu quelqu’un qui ressemblait à un être humain. Il y avait beaucoup d’herbe et de poussière sur son corps et surtout sur son visage qui ne pouvait pas être vu.
On ne pouvait même pas reconnaitre le corps. Il y a une autre personne, tournée vers mon père et faisant face à la personne couverte de poussière. Il ramasse toutes les pailles, lame par lame, avec un amour, une affection et un soin extrême.
Après un certain temps, il jette toutes les pailles et nettoie son corps de toute poussière. Au fur et à mesure que toutes les pailles sont retirées, un visage aussi resplendissant que le soleil ne peut supporter cet éclat. À ce stade du rêve, il est clairement indiqué
Que la personne pieuse du corps béni duquel les pailles ont été retirées est le Saint Prophète (saw) et la personne qui les a retirées est Massih Maoud (as). Il a eu cette vision la nuit. Le lendemain matin, les détracteurs sont à nouveau venu à lui et ont dit :
« Voyez ce que vous disiez hier ! Savez-vous qu’Atham est toujours en vie et qu’il n’est pas mort et que la prophétie de votre Mirza sahib s’est avérée fausse ? » Mon père a dit : « Vous avez reçu des nouvelles erronées. Atham ne sera certainement pas en vie et serait certainement mort
Pour ses coreligionnaires et ses proches car il avait cessé de faire ses affirmations habituelles. S’il ne s’est pas repenti, il ne l’a pas répété. Jusqu’à ce que tous les faits soient révélés, ils devraient confier leurs doutes et leurs craintes à Allah. »
Il leur a également dit que s’ils avaient vu ce qu’il avait vu la nuit précédente, ils se rendraient compte de la grande stature de l’homme qu’ils dénigraient. « Depuis que j’ai vu cette scène dans le rêve, j’ai l’impression que ce signe se réalisera avec une telle gloire que le monde connaîtra sa majesté.
Ensuite, il y aura beaucoup d’autres signes qui seront révélés par Hazrat Mirza sahib (as) qui détruiront tous les obstacles créés par les ennemis de l’Islam. » Le Calife (aba) a déclaré que le bel enseignement de l’Islam, de montrer le vrai visage du Saint Prophète (saw)
Et que retirer toutes les allégations contre lui relevait du devoir du Messie Promis (as). Maintenant, vous pouvez voir que c’était la compétition avec Abdullah Atham dans laquelle le Messie Promis (as) défendait le Saint Prophète (saw) et que l’Islam et certains Musulmans et leur clergé étaient aux côtés des autres.
Le Messie Promis (as) essayait de manifester la véracité de l’Islam et voulait montrer le beau visage du Saint Prophète (saw) aux personnes qui s’opposaient à lui. Aujourd’hui, ils organisent des rassemblements pour commémorer la naissance du Saint Prophète (saw).
Ils doivent garder à l’esprit que le vrai bonheur ne réside pas dans la célébration de fêtes, mais bien dans la diffusion du message du Saint Prophète (saw) et transmettre son bel enseignement à chaque personne du monde et en saluant ses bénédictions.
J’ai lu une référence juste avant, qui fait la force de la religion. Il est du devoir de chaque musulman de se fortifier en religion s’il est un vrai musulman et cela ne peut se faire qu’en rejoignant celui qui aime véritablement le Saint Prophète (saw).
La mort d’Atham fut évitée pendant un certain temps, mais six mois plus tard, il mourut. Il s’est repenti d’une certaine façon et a évité de répéter ces mots. C’était la prophétie que la mort peut être retardée pendant un certain temps, mais cela arrivera définitivement et c’est arrivé.
Comme je l’ai dit plus tôt, j’ai rêvé que si nous voulons obtenir la royauté et conquérir le monde, ce serait à travers la prédication. Nous devons donc nous efforcer de parvenir à cet objectif. Le beau visage du Saint Prophète (saw) n’a été montré par personne.
C’est le devoir de sa communauté, nous devrions donc réfléchir à cette question. Le Messie Promis (as) a écrit sur le Saint Prophète (saw), « Je me demande toujours à quelle hauteur était le statut de ce prophète arabe, qui s’appelait Saint Prophète (saw). On ne peut pas atteindre la limite de son statut élevé
Et il n’est pas donné à l’homme d’estimer correctement son efficacité spirituelle. Il est dommage que son rang n’ait pas été reconnu comme il aurait dû l’être. C’était le champion qui a restitué au monde l’unité qui avait disparu du monde ;
Il aimait Allah à l’extrême et son âme se fondait par compassion pour l’humanité. C’est pourquoi Allah, qui connaissait le secret de son cœur, l’exaltait au-dessus de tous les prophètes et de tous les premiers et des derniers et lui avait confié de son vivant tout ce qu’il désirait.
Il est la source de toute grâce et une personne qui revendique toute supériorité sans reconnaître sa grâce n’est pas un homme mais est l’apparition de Satan, car le Saint Prophète (saw) a reçu la clé de chaque exaltation et il a reçu le trésor de toute compréhension.
Celui qui ne reçoit pas par lui est privé pour toujours. Je ne suis rien et ne possède rien. Je serais très ingrat si je n’admettais pas que j’avais appris la véritable Unité d’ Allah par l’intermédiaire de ce prophète. La reconnaissance d’Allah vivant que nous avons atteint
À travers ce prophète parfait et à travers sa lumière. L’honneur de converser avec Allah, à travers lequel nous voyons son visage, m’a été accordé par le biais de ce grand prophète. Le rayon de ce soleil de guidage tombe comme un rayon de soleil sur moi
Et je ne reste illuminé que tant que je suis ajusté vers lui. Il explique plus loin : « La personne la plus parfaite, le prophète parfait qui est venu avec des bénédictions accomplies et la première calamité est née de sa résurrection spirituelle et de sa congrégation,
Tout le monde mort est devenu vivant est notre noble prophète, le sceau des prophètes, le chef de tous les prophètes et la fierté de tous les prophètes, le Saint Prophète (saw). Ô mon Allah ! Ayez pitié et bénédiction sur ce prophète bien-aimé,
Vous ne l’avez jamais vu sur personne dans le monde depuis sa création. » [Arabe] Tel était le statut élevé du Saint Prophète (saw), décrit par le Messie promis (as) et c’est la raison pour laquelle lorsque les gens avaient des rêves, ils voyaient le Saint Prophète (saw) en la personne du Promis Messie (as),
Comme si les deux personnes étaient d’un même esprit. C’est aussi notre devoir de rafraîchir nos langues en invoquant des bénédictions sur le Saint Prophète (saw) aujourd’hui et que nous continuons à progresser à cet égard. De même, nous devrions suivre son modèle béni et continuer à nous améliorer.
Comme je l’ai dit plus tôt, des réunions ont lieu aujourd’hui, des rassemblements sont organisés et l’anniversaire du Saint Prophète (saw) est célébré, mais l’enseignement du Saint Prophète (saw) n’est pas suivi. Le rassemblement qu’ils organisent à Rabwah serait probablement uniquement axé sur le fait d’abuser du Messie Promis (as) et de la Jama’at.
Le personnage du Saint Prophète (saw) ne sera pas illustré, seulement un langage abusif sera utilisé pour le Messie Promis (as) et un langage immonde contre la communauté Ahmadiyyat. D’une part, le traitement réservé à nos détracteurs et, d’autre part, la faveur d’Allah envers les compagnons
À qui Allah a montré le Messie Promis (as) et le Saint Prophète (saw) comme une seule et même personne et les a ainsi rassurés. Allah permet aux gens de nature pure de vivre de telles expériences, même aujourd’hui, et ils se retrouvent dans le giron de Jama’at.
Ils adoptent la véritable servitude du Saint Prophète (saw) en prenant Bai’at du Messie Promis (as). Que les yeux des détracteurs soient ouverts et que, plutôt que d’être soi-disant musulmans, puissent-ils être de vrais musulmans et écouter la voix d’Allah. Toutes les louanges sont à Allah, nous Le louons, nous implorons Son aide.
Et demandons Sa clémence, nous croyons en Lui et nous nous fions à Lui. Nous cherchons la protection d’Allah contre les mauvais penchants de notre âme Et les mauvaises conséquences de nos actions. Quiconque à Allah comme guide ne peut être égarés. Et quiconque Il égare ne trouvera pas de guide.
Et nous attestons que nul ne doit être adoré, à part Allah. Et nous attestons que Mohammad est Son serviteur et Son messager. Ô serviteurs d’Allah, qu’Allah vous soit miséricordieux ! En vérité Allah ordonne la justice, et la bienfaisance et la bienveillance entre parents. Et Il vous interdit l’indécence, l’iniquité manifeste et la transgression.
Il vous prévient afin que vous puissiez prendre garde. Souvenez-vous d’Allah. Il se souviendra de vous. Faites appel à lui. Il vous répondra. Et se souvenir d’Allah est la plus grande vertu.